Le plan vise une amélioration de 75 % des marges du BAIIA d‘ici 2015. Plus précisément, nous ciblons des marges de 9,5 % d‘ici 2012 et de 12,5 % d‘ici 2015.

le plan est abordable

Nous prenons appui sur une approche très rigoureuse. Dans les deux premières années du plan, nous prévoyons réaliser d‘importantes économies de coûts, sans avoir fait d‘importants investissements en immobilisations, grâce à la réduction de la complexité et aux avantages précoces du regroupement d‘usines à court terme. Nous nous sommes engagés à conserver une cote de crédit de qualité supérieure tout au long de la durée du plan, et avons pour objectif un ratio de la dette par rapport au BAIIA de 3,0 fois ou moins. À la fin de l‘exercice 2010, ce ratio se situait à 2,5 fois.

Il importe également de comparer les coûts et les avantages de ce plan aux autres options. Si nous ne nous attachions pas à réaliser des économies d‘échelle et à investir dans la technologie, il nous faudrait investir davantage dans les usines les plus vieilles pour qu‘elles demeurent en exploitation. Par conséquent, il nous en coûtera environ 550 millions de dollars de plus entre 2010 et 2013 que ce que le maintien du statu quo nous aurait coûté pour mettre sur pied un réseau de fabrication de pointe.

le plan est mesurable

Le plan vise une amélioration de 75 % des marges du BAIIA d‘ici 2015. Plus précisément, nous ciblons des marges de 9,5 % d‘ici 2012 et de 12,5 % d‘ici 2015; nous visons à faire passer les marges de nos activités de 7,3 % en 2010 à 12,5 % au cours des cinq prochaines années. Le BAIIA n‘est pas la principale mesure de notre réussite; il sert plutôt à comparer notre rendement d‘exploitation. Ultimement, cette stratégie permettra d‘obtenir le rendement de l‘actif net que souhaitent les actionnaires, qui sera de beaucoup supérieur au coût du capital, afin de créer de la valeur.